Verse 1 (Rhymer) : J'suis aigrie et j'ai mine grise, J'me rogue tous les jours, j'voulais ressembler à Moïse, DAMNED ! Est-ce une perquise ? Au microphone ma langue est comme une lame que j'aiguise. On noie nos rêves dans la tise, On boi la haine qu'on attise, C'est dans l'espoir que je puise, Mais au fil du temps il s'épuise, Rien n'est jamais acquis... sauf la facilité Ouais l'humain nait avec, c'est la première d'ses facultés, C'est pour mes mal aimables qui m'ont toujours bien accueilli, C'est pour mes mal aimés avec qui j'ai grandi, Sans eux, mes choix, mes buts auraient été bien différents, Alors je rend hommage à tous ces gens en dilettante, J'arrondie les angles, et la perche te tend, On rêvent de grandeur pas d'une mort lente. HOOK (Rhymer & Neo) : J'rêve de grandeur M'accomplir, prendre de l'ampleur Travailler la rime dans sa splendeur Ouais pour ça j'ai bossé tant d'heures À sens unique est l'ascenseur Nos censeurs n'ont pas accès à mon sanctuaire On finira au devant de la marche funéraire Donc on rêvent de grandeur Verse 2 (Neo) : Je n'ai qu'mon fond, ma forme avec mes rêves de grandeur, Tant d'heures passées à chercher d'l'or sans comprendre son ampleur Sur la personne, comment passe-t-on du gosse en pleur À l'homme vendeur d'son corps, oui j'me questionne, Quelle est la valeur d'ton âme si ce n'est qu'du décors, Le tox achète sa came et n'assume pas ses tords, Je m'acharne dans le rap j'veux devenir assez fort, Cousin tu m'dis que j'suis à l'ouest mais je perd pas l'nord Car j'ai peur d'mon sors, je sais qu'sortir, On m'dis "tire sur la corde" mais ça c'est pas d'mon ressort, Entre remords et morsure du temps, À quoi bon être retord, pourquoi j'ai bossé autant ? J'veux pas faire de records dans des temps reculés, Ici les siècles ont marqués l'corps mais pas vraiment la mentalité, Rentabilité est le seul mot d'ordre, Ici pendant qu'le temps s'écoule, Le sang coule sur l'or. HOOK Verse 3 (Rhymer & Neo) : ma gueule J'suis sur ma route mais j'connais pas ma direction, c'est pas le rap mais la musique mon style de prédilection, J'ai pas envie de travailler sous l'emprise de la direction, J'ai pas envie d'écrire toute ma vie sous l'emprise d'la violation, Des droits, tais toi, c'que font les procureurs, C'est quoi ? à part signer des papiers à toutes heures, Je craque, un mac, un mic, une salle, De quoi s'mettre à la breaking bad mais pas pour bicrave du crack, Mes fantasmes ... tirer sur les ri-pous, j'te parle de flics pas des méchants d'picsou, Ça tire aussi, coupe! Entends-tu ? C'est le bruit de mon lo-sty pas d'un six coups. HOOK

FUYEZ !! Pauvres fous, On a un Balrog aux trousses, Quand les hommes de pouvoirs chient, C’est nos manches qu’on retroussent, Bienvenu ! dans l’oligarchie Des verts pouces, Des vers coulés, encore écolier Ouais c’est ça les jeunes pouces ! Tous souffrent. Et sont à bout d’souffle, Comment veux-tu gagner la course chaussé de pantouffle ? Subir des railleries à cause d’une grosse touffe, Réaliser qu’être populaire ne vaut pas mieux qu’une bonne bouffe! Entouré de gens aimés, À partager dans la simplicité, L’humanité dans la nécessité, Et nous, lucides pécheurs, dans notre immonde cécité Nous nous complaisons en beaux discours et paroles vaines d’actes, J’suis même pas sur que si l’malin s’propose j’vais pas sceller l’pacte, 31 mai le projet sort, retenez cette date ! Mais faire partie de cette arene humaine hommie "FUCK THAT" !! Hommie fuck that shit let me hol’on Why 'em brings 'em shits weh mi cure on The world’s ruled by psycho’s an’ deamon Le’me fuck 'em deep find de reason J’suis la pour faire couler du sang Bleu comme ciel ! Et m’élever vers les anges Au delà du matériel ! Le règne jamais ne s’effondre, Les gens qu’on affronte, Ne sont que la fronde, De ceux qui n’ont honte, Je vis dans un conte, Pas dans votre monde, Mais dans ses décombres, Merde !! Ce texte incombe certaines, Concessions Hertziennes, J’ai l’impression que de ma vie j’ai percer l’hymen, Je ne sais plus à quoi ce jeux me mène. Car ici bas ! La joie et la jalousie, Sont intimement liées comme marcher et courir, M’indique pas le chemin j’suis pas perdu je sais ou j’suis, Je t’assure que crever n’a rien à voire avec mourir ! Partir a tout à voir avec vivre, Enfin dans mon contexte t’es pas obligé d’suivre, Poursuis ton idéal vas y réalise toi, Pour ma part le réalisme n’est qu’une question d’doigt, Un toit, à quoi ça sert à part quand t’es né d’sous ? Et j’te dirais la même quand on vas parler d’sous! Je ne suis plus le même à la vue de ces dessous, Mais reste toujours le petit Rhymer à deux sous, Vas comprendre, réflexe, rime, ou, Sens caché, sens dessus dessous, Je m’en vais : tâcher ! « déjà vu », C’était un peut facile ?? « oui j’avou » !! Le jour passe L’étau se resserre L’impasse Et je me re-sert et je m’éviscère (et je vais viser) Nauth à la prod bande d’enfoirés !!laissez cette merde jusqu’à la fin c’est tellement bon ...

Woman dem a hot Is a lot man Woman dem a hot Yes is a lot man Woman dem a hot Is a lot man Fa dem bitches niggas get shot Ouais j’suis ce tox … Qui prends sa came, ça comme, La bicrave et fais sa comm’, Deux, trois ients-cli par ci, par la, Pour deux, trois grammes ici c’est pas la cosa nostra. Ouvre un synthétyzer, Que j’harmonise ta merde, tout c’que tu peut répondre c’est « Yes sir! » Ou bien « Roger! », Tu m’verra pas au volant d’un rover, Dans vingt ans ayant percé avec des sons d’lover. Tout l’monde veut des sous ? non Moi j’veut vivre, peu importe où! De préférence dans un pays chaud, Canné au soleil d’une plage au ble-sa négro, Tout’ moun qua comprendre, On est pas des tendres Mais mon gars sûr à sûrement raison quand il me dit d’me détendre, J’en attendais pas tant, Vous êtes épatants, Un petit partage ne coûte même pas un dixième de votre temps, Ah bon tu t’exclame ? mais nous on s’esclaffe, En entendant tes textes quasi imbitable, Ce n’est pas l’islam, mais votre ingérable, Echiquier qui est la cause de leur soif, Qui est mort ? qui est vivant ? Qui est qui ? suis-je vraiment moi ou suis-je un mort vivant ? Vas-t-on se soulever ou bien se laisser dire, Par nos petits enfants qu’c’était à nous d’éviter l’pire, Y’a que des conflits partout sur le globe, Mais c’est la même rage qui, tous les peuples, englobe, Et c’est aux mêmes que reviennent tous le bénéfices, Et c’est les mêmes qu’on éjectent du jeu d’office. T’sais pas qu’j’m’en bat les couilles ? x3 Comme cycy on fais parler les douilles Woman dem a hot Is a lot man Woman dem a hot Yes is a lot man Woman dem a hot Is a lot man Fa dem bitches niggas get shot FUCK Le sujet le verbe et le complément, Tes idées et tes compliments, T’à la frappe à vi-ser dans le bâtiment, J’ai des versets à rec, aisément, Instantanément je dément les rumeurs, Qui se sont propagées à propos du Rhymer, Un petit kahwa ouais levé de bonheur, Je ne t’accepte pas si tu n’est pas à l’heure, Alors comme ça on veut pas clamser ? Que pasa ? Alors comme ça on laisse pas passer ? Mes gavas ! Bas, bas les ille-cou j’veux pas percer non, baba Je veux les annihilés à la Beerus sama … Woman dem a hot Is a lot man Woman dem a hot Yes is a lot man Woman dem a hot Is a lot man Fa dem bitches niggas get shot

Verse 1 (Nax) On dis que Dieu est grand et que l’homme est petit, Que l’on court à notre perte, que notre sort est écrit, Entre sixième sous sol et septième ciel, Je perds la boussole mais me démène, Le verbe je dégaine, consomme de l’herbe et des graines, Je met cette merde dans mes veines, Et déverse ma haine sur le papier oui le malin m’habite, Des enfers artificiels Et mon mal s’agite quand j’ai pas mon haschich miel. Bienvenu en enfer J’ai vendu mon âme au diable, aux enchères, Transforme mon mépris en arme, Beaucoup de vie s’enflamment, Qu’est-ce que l’esprit sans l’âme ? Je penses à la cause des plus grands drames, Notre histoire tacheté de sang, Mais impossible de racheter le temps, Face au miroir je me repent Et me laisse allé cette douceur m’emmenant, Brebis de Dieu, du bétaille qui détaille et détale quand la police est la Et produit le zetla au profit de l’état car légale ou pas les business passent souvent sous les tables, Jésus est né sous une étable, moi, moi, moi je suis né sous les étoiles, On s’est saoulé des fois, on à trouvé des voies, Parallèles, en proie à la paresse, Attendant qu’vérité apparaisse, Comme un mirage au loin, J’ouvre un grimoire ancien et y grave mon empreinte mes frères joignons nos mains, Seul mon inspiration génère ma logique, j’ai répandu ma morale, (x2) Déraciné de mon arbre généalogique, j’ai vendu mon âme au diable ! (x2) HOOK (Rhymer & Nax) Enfer et damnation Les dents ternes de madame nation Me surplombent, ablation, Elementaire, ablation, Rudimentaire est ma narration Un effet d’attraction vers les enfers Faisons abstraction Ma lanterne sera ma salvation ! Verse 2 (Rhymer) On parlent de choses, ni faites ni à faire, Qu’on ferais sûrement si on était gangster, Grande dose, dans un grand verre, On a rencard aux portes des enfers! Je te rencarde, Quel est l’problème ? Chouf la pencarte, Des tones d’aubaines, Que tout l’monde s’écarte Et s’abstienne, Parole d’un barde qui n’a que ses poèmes A offrir, dans de maigres soupirs Je m’etteind parle-tu de dormir ? Comme nous tous ici peuple d’infanticide, Tous coupable d’homicide, Volontaire a court terme, Le bonheur ne sera plus qu’un thème, Merci voltaire, god damn, à présent je sais plus qui t’aimes, L’humain est un dramaturge, Qui se pougne en écrivant Des choses un peut désabu-(sé) Zé peq est dead manu t’en Tionaire de déjà vu, Il te faudra pour comprendre, T’emenciper des codes et T’efforcer de décoder Au vocodeur vintage frère ça claque plus que dans ton studio, Facile de parler des autres mais dis c’qui s’passe si on s’ élevaient plus haut ? J’suis qu’un élève, que prétendons nous quand on rap ? Car La ive est brève, avec un jolie noeud pap, On T’enterrera, et puis on t’oubliera, Vas-t-on se soulever ou se laisser détruire dans un consensus général ?

Mal habillé Le negro est prêt à causer Ecoutez écoutez J’ai dis écoutez écoutez! Sombre sont nos délires, Son hombre sur Medelin, Plane, plane en attendant le pire Rire … notre seule médecine, De la cime de nos pensées on observe l’empire, Le constat est amer c’est de justesse si on s’en tire, Vas-t-on sentir, un jour, sur nos joues l’agréable se-bri, De la liberté de la paix court est l’echo qui s’ensuit aux cris, Le crime est relatif à l’importance qu’on lui accorde, La chute est relative à la longueure de la corde, Je m’idole, je mi sol, Ojan, ce soir je midor, Peut tu poto m’enlever la camisole ?? Oui! la came isole Igo mon ego m’emprisonne, m’entire, n’arrange personne Surtout pas soi, nul ne perd ses vers car chacun à son vers à soi, Mec je me rosse titube de terrasse en terrasse, Mec j’ris comme un gosse, quand mes jeunes démons me terrassent, Mec goute la crosse de mes verres, ouais de mon parnasse, Meuf vois tu la crasse de l’être, qui jadis canasse La prod est bad, l’humeur aussi putain mais qu’est-ce qui t’arrives Gaalacteek? Je vous l’avoue la schizophrénie est omniprésente dans ma musique, Un ovni haut dans le ciel, d’ici, le pays m’émerveille, J’ai vu le monde agir au pluriel … et puis je me réveil! Le rêves porte conseil, c’est impressionnant ce qu’on saignent, C’est qu’on sèment la haine bien plus qu’on s’aiment Je concède qu’on s’aident seulement quand on baignent, Plus loin je n’irais pas, Vous voyez de quoi je parle, Mon voilier n’est plus qu’une épave, Donc j’fais pas rimer la phase. J’fais pas rimer la phase x4 J’fais pas rimer la phase Et je construit la phrase Sans direction ni base Mettez moi dans vos cases J’veux parler comme je souhaite Penser comme je souhaite Remettre le prix nobel de la paix A un analphabete ouais Parler comme l’on souhaitent Réaliser nos conceptes En restant sceptique dans la fausse De, de ton concert! Empêcher la violence Entraver ton enquête Sombrer dans la décadence Ou poursuivre la quête Ou détailler la quette Huuuum Que ferais-tu ? Seul et perdu Que ferais-tu ? Seul et perdu Seul et perdu ….

M’isoler dans mon crâne en faire la dissection, Extraire le cerveau, prudence et discrétion, Votre pensé paradigmatique se résume en 10 sections, Pour ma part une réponse engendre 10 questions! Verse 1 R.H.Y.M.A bienvenue à gotham, God damn, Où les charclos s’tapent comment rester calme quand tes amis s’cament ?!! Nique montaigne, nique mon texte, nique le dicton et l’contexte, Dicte ton code d’honneur j’te dirais si t’es un bon, On voulais soulever des montagnes, Mais on à léfro le bagne, De justesse, à la chatte, comme, Goku supa sayan, Come& Follow me folle amis je te le dis il n’y a pas d’avenir dans la bibi, Il n’y a pas d’avenir dans la llav-pi, l’avenir se trouve bien loin d’ici. HOOK Gotham City Gotham City Nigga u be inna trouble if u don’t buy ma CD Gotham City Gotham City U’re a poor little gangster im de B.A.T BRIDGE Mi neva scared becah mi is de frightener, Heat em up fas’ is easy as pie, Rhyma go pon it jus’ shut yo bloodclaat nah, Million tunes done an’ unnuh still aks why. Verse 2 R.H.Y.M.A ouais t’es bien à gotham God damn, On est tous unstable, des embrouilles à table, ouais ça pete des cable, Qui t’a dis qu’on etais tous éteint ? Nous on est des gars à part, On fais dégat mais après on réparent, Rien à voir avec les ricains, Je suis pas l’genre de mec qui fais le fière, Et roule des mécaniques alors qu’y’a pas matière, Si tu le veux je vais t’envoyer à terre Mais à terme, ça sert à R Non je suis pas l’genre de mec qui fais le fière, Et roule des mécaniques alors qu’y’a pas matière, Si tu le veux je vais t’envoyer à terre Mais à terme, ça sert à R HOOK Verse 3 Ouais c’est comme ça, Fin d’se monter les un contre les autres, Unité, uni t'es une idée, uni des gens seront toujours plus fort, Et vice et versa, De la violence nous sommes les apôtres, Mais solo t’es faible, frolo t’es blême quand il s’agit d’allé dehors Euh Quel est l’problème ? J’voit qu’tu t’agite mais c’est qu’un poème, Et fiston tu l’aimes, Ouais fiston ces gens qui on pas compris l’thème, Ouais fiston tu t’aimes, Comme un mathusalem, Le théorème de notre folie infinie, C’est que nous sommes nos propres golem. HOOK

Verse 1 (Rhymer) Hear that shit nigga hear that shit Peace that beat nigga peace that beat Write that quick nigga write that quick An’ ride that sick nigga ride that sick Hear that shit nigga hear that shit Peace that beat nigga peace that beat Write that quick nigga write that quick An’ GMD ago ride that sick Ima bawl ima bawl im about To kill a nigga an’ a cop To shot em stupid idiot Weh make riot fa money 'em stock U see me even if me no talk Well good english an’ a take My time fa explain de things me tinks trouble we make Herb we did sale Open u mind doors weh seal Open u up a di worl’ No badda chat a dem girl U know say de answer a no here We fulla paranoia Cause down de street a lost bullet catch you, was fa another, So wi haffi stand tall strong Unify as we never saw Take a step from u ego An’ come with us, we along A break this society up Dem make we dreamin’ we part a de top Vegetables we better gonna grow Fi take over we ago HOOK (GoldMunD) In the heart of darkness Straight outta momma To the belly of the beast So we keep smoking the ganja Growin’ up in a distance, Put yourself higher, Wi the children’s of the beast my nigga we on fire Verse 2 (GoldMunD) in dis society we call democracy u eat or u be eaten and u think u making friends they end up as enemies cause humans always think they can worship the GOD and be the deity Me I'm just the GMD, Golden Mind in Despair Come help me build a world, otherwise "je crois qu'j'vais me perdre" J'fume et j'mange du vert, Why d’ya fucking stare? I can't fucking bear Y'all motherfuckers are fucking dead Ain't no room on this earth for dem Get up ! Stand up! Fucking Dare! Breaking the chains, bad that the way out is to become Heisenberg Unifying is the godly response Me and my niggas we gotta be strong Kinda hard when u was born in a swamp Child of the city, wake up! Wreck all dem banks All we need is to grow the lands Looks like it never ends Unless u lift up your brain, man! get up, be a freeman Like rain man Head out of the sand (fucking ostrich) no u never go do dis huh HOOK

HOOK Seul et perdu Pendu à la pendule Je m’ouvre, me ferme Tombe, me lève Saigne, joui, Père du Silence et de l’amertume Je fais un pas mais recule Se taire, agir Inter-agir Les gens et les coutumes Verse 1 Un homme se meurt, une légende nait, C’est dans le malheur qu’on voit les gens donner, Honnêtement qu’avons nous fait ? Pour mériter de n’être que le reflet, De nos âmes, même nos larmes, Ne suffisent à ce monde héritiers d’Abraham, Baissez les armes, j’ai dis baissez les armes ! Au final qu’est-ce qu’on incarnent ? Est-ce bien nécessaire de faire tout ce vacarne ? Mec est-ce qu’on en parles ? J’ai des troues dans la tête mais vais-je répondre Charles ? L’humanité mise à part, La terre est un havre de paix. L’humanité mise à table, La terre est un champ de bataille. HOOK Verse 2 Qui ne dit mot consent, Conscient qu’on s’enlise dans les bon côtés l’instant, Ne voyant le présent que par le prisme du prix des choses, Je demeurais absent. Je met l’accent sur le fait de vivre Tu veut t’émanciper ? negro fait le vite! Tu doute a propos des bien fait du livre ? Je doute à propos des biens fais du hit. Elevons nous plutôt que se jeter dessus la balustrade et pour se rassurer, Tout au cours de la chute se répéter jusqu’ici tout vas bien je ne fais que tomber, Elevons nous plutôt que se jeter la pierre comme une balle qu’on ne fait que renvoyer, Mais bellec un jour la cartouchera les tiens. Jusqu’ici tout vas bien. HOOK

Je ne suis pas Charlie … Je ne suis pas Charlie … Je ne suis pas Charlie … Je ne suis pas Charlie (Mingus) Verse 1 A l’heure ou j’ecris ce texte, de grosses cernes se dessinent, Juste en dessous de mes rétines et je tire dans le tas car l’ennemie cerne, Je n’ai toujours pas finis ce verre et pas celui que j’écris, Je vous avais pourtant averti que ma réalité n’étais qu’une question d’doigt, Un doigt de whisky ! Donc comprends qu’arrivé jusqu’ici relève de l’exploit de la part d’un missile, Je n’ai pas choisit de devenir MC et je ne te dirais pas qui à tuer Bill, D’habiles tournures ma poésie est faite, Mais la posture, de l’homme qui se tiens derrière est faible, Nous nous accorderons tous pour dire qu’il s’agit une imposture, A titre postum je n’ecris pas cette saleté car toujours mon coeur bat, Et nous savons pertinement nous allons trépasser, Alors j’attends l’heure de ma mort en costume. Verse 2 Je ne suis pas charlie mais bien le battement, D’expiration du souffle d’une poussière de temps, L’expiation des pillards de temple, n’a pas lieu, Car leur l’histoire prétends qu’il n’y à pas mieux, Sur une estrade judiciaire, nous allons les élever, Réalisez vous que c’est par des militaires, Que nos gamins sont élevés! La crédulité des enfants crée des adultes fermés, Mais si jamais nous nous mettions à penser ? Nous nous rendrerions compte que nos plais peuvent-êtres pansées, Et que le timbre d’un sax suffit à nous bercer. Les certitude de chacuns crée des sociétés fermés, Mettons nous à penser! Oui madame, nos plais peuvent-être pansées, Et par le timbre d’un sax, je m'endors bercé.

HOOK Pour qui te prends-tu ? nous nous prenons pour nous Rien à signaler tout est calme en dessous Nous manquons peut être un peut de sous Rhymer, Nauth, BUNUNU!! Verse 1 Walk in da bloodclaat dream No need no glass fi see That is a crime scene An' a we gonna eat that cream U’re a dead man weh di poors get rich So what ? u gonna kill me ? U know all of da spells of wich Dem, but, u don’t know how to spell it All around a dutty things Because Im a froggy pig Me neva works inna cane field Fi slavery aks a miss ping Silly white, people, A’ight Non a we no do right Weh di black, people rise We all gonna need t’be wise. HOOK Verse 2 Entre dans le rêve, ouvre tes oreilles, Ne vois tu pas que la trêve ne concerne que les zoreilles, T’es un homme mort quand les riches seront pauvres, Chut!! prends ta dose Et j’me demande quand est-ce qu’on m’sauve? Merde, tous se disent la même chose! Mais tout autours y’a que du sale, Ça tue des nourrissons par balle, Saviez vous qu’à cause de la cane, Trop de père, de mère, n’ont jamais été quinca ! Qu’est-ce qu’on ? incarne ? Selon cyrus le péché de carne, Histoire - Savoir, Perso j’pense que jesus était noir. HOOK

J’ai passé le cap J’ai passé le cap Et j’ai bibi la frappe (non non) Pourquoi ai-je bibi la frappe ? De cap et d’épée voilà mon style de rap, De cam et péchés de quoi parle ton rap, Tu veux discuter ? mec allons nous assoir, Mes écrits ne sont ni prendre ni à boire, Authenticité pour carrière durable, Tu t’en sortira si tu dis que t’avale, Je ne percerais pas sauf peut être un érable, Il faut tout méditer en amont, en avale, Vous cherchez le buzz eux cherchent la maille, Merde, je cherche du travail, Et puis nique les bénits moi j’suis plutôt comme Piaf, Et puis nique l’épithète sera mon épitaphe, Et je baffe, mon envi de la serrer si fort, Que j'en casse, tous mes espoirs avec une oxymore, Et j’encastre tes ministre a cravate qui ne veulent que ma mort, Et je castre, tous ceux qui ne te désirent, mi amor, Et je passe, d’ insipides né-jour ou je ne fais qu’hurler, Une taf, de plus ou de moins me ferais reculer. Qui suis-je ? Où suis-je ? Mon gars garde tes garde du corps, Je ne veux plus voir le son du désaccord, Ni entendre ces visages qui se tordent, Mais contempler la plage que la mère borde. Et puis nique les poèmes je préfère avoir tors, Et puis nique les poêtes j’les jettent par dessus bords, J’ai le germe etourdi quand lucide est ma voie, Je ne laisserai personne me dicter ma foie! J’elucide des mystères que j’ai moi même élaborer, Je ne me plante que si le champ est labourer, En effet ce travail, par aspects, est laborieux, Des fois, c’est ce qu’on fais quand on est amoureux. il faut rendre à Césaire c’qui appartient à Bourdieu, Pour donner mes oreilles je n’etais plus en jeu, Ils m’ont pris tout d’abord une personne âgée, Je ne suis qu’un insecte pas l’outragé. il faut rendre à Césaire c’qui appartient à Bourdieu, Pour donner mes oreilles je n’etais plus en jeu, Ils m’ont pris tout d’abord une personne âgée, Je ne suis qu’un insecte pas l’outragé. Vas-t-on passer le cap ? Ou bibi la frappe ? Bibi la bibi la bibi la frappe …. J’ai passé le cap et j’ai bibi la frappe, Une énième fois on s’attrapent, Obéi moi, obéi leur, À la base j’demandais juste l’heure, Sont flingués mes discours, je déprime à cours Mes mécènes ? je veux les Betancourt, Cours toujours, je vais te rattraper, Bandes de rats ne savez pas trapper.

Verse 1 (Rhymer) J’voulais pas faire ce genre de choses, On m’a dis vas y négro pose, Putain, les gars, je me repose, J’voulais rider la ménopause, Provoquer l’applause, Rien qu’ça compose, Tape dans tes mains, prends ta dose, De H.I.P fais bellec à t’protéger pour pas chopper le H.I.V, Ça s’passe sans C, sans sommes astronomiques, En somme, un calcul mathématique, Check la sémantique, ça s’passe, De commentaires et de grosses liasses, Un gros niaks et une grognasse, C’est c’que tu veut voir dans mon pe-cli, Donc un flow fâché, et un peu miskine, c’est tout c’que j’donne à ce genre de ients-cli. Cy Verse 2 (Cyrüss) Check ma cons’ histoire que j’aille sur d’autres constellations, J’ai posé des textes austères et obscures, Pour serrer des putes bourgeoises en désintox cure, Le monde malade fais sa place parmi les ordures, Tes sois disant rappeurs prétendent vendre de la dure, Et plus de quatre mec sur quatre jurent que par l’or pure, Fuck ton présentateur préféré, ton bonheur éphémère, Vu la réalité psychique sur les visages dans le RER, Nique sa mère au maire ici on meurt de manière, Absurde, comme le raisonnement de Simpson Homer, Les mères pleurent car la mode est à l’omerta, OH mierda viennent s’en mêler les medias, Considéré sang mêlé, j’ai vu l’avenir comme les mayas, G M D composera cent millésime, Et la populace, las, se résignera sous résine. Enfoiré Verse 3 (GoldMunD)

Verse 1 (Rhymer) La musique, c’est mon crack, Lâcher des mélo à la Jean Sébastien BACH, Vas y sors, la came du sac, Trois lettres pour nous envoyer au max, Claque la porte, et go dehors qu’on débordent les passants, zen, Que quand j’ai rime ébène, entassant les peines, Mais l’soleil nous fais relever la tête, Un peu de zeille dans les poches ça fais plais’ mais pas avancer la quête, Donc t’inquiètes on arrivent, on à pas toute la i-ve, Faut soutenir la mif, pas rester passif, Viser le haut de la pile, c’est le music appeal ! Rhymer dis à Gaalacteek qu’en indé t’étudie, Avec minutie, les rouages de l’industrie et prends le temps d’écrire, Endetté tu te dis « merde! J’aurais dû réfléchir ! » HOOK (Rhymer) Tout mon budget pour l’été Un séjour de qualité Découvrir des sentiers Non monsieur l’officier Mon tournage n’a rien d’officiel Ni mes plugs, mes logiciels Logistique au pifomètre On étaient à des kilomètres De s’imaginer tout le potentiel De cette combinaison étincelle Tends nous la perche, on te donne deux, trois, ficelles Ma page n’est jamais blanche car j’écris dans le ciel ! Verse 2 (Nax) On est d’abord ici pour se faire zizir, Grand spliff sisi, soleil comme en sicile, Tu viens du 9 7 4 moi du 6 6 6, Fume fume fume jusqu’au mysticisme, Tu veut mon mode vie, Viens je t’initie, Un grand verre de tise, un long vers écrit, Faites place au lyricist ! Summer mood, des couleurs douces, un ceau-mor moue, Une plume gracieuse, avec de l’or au bout, On est calme petit coin de nature, un grand joint de ma pure, Loin de l’actu, de la rue, entre les miens et ma ruche, au plus lointain de la thune, J’plane au dessus de la ville avec ma fly pépère, Ouuh, Une fonce-dé comme celle-ci i’en aura pas d’meilleure, Non, J’me fou du temps qui passe viens pas me parler d’heure, Uuuh, On récupère le trône comme les trois seigneurs, Petit séjour en campagne, ma poule le vie n’attends pas, Y’a du pain sur la plancha, rentres dans l’tas comme la Mannschaft, Une teille de champ’, j’suis dans le champ, Ou dans ma chambre, une feuille de chanvre sur le schibre, Je chill sous chim' pas t’shit et une voix chante mamen. HOOK